L’enjeu de l’eau potable prend de plus en plus de place dans le paysage politique et environnemental du Québec. Cette ressource fait partie intégrante de notre territoire — mais nos activités la contaminent, et particulièrement notre utilisation trop importante de pesticides.

Cette contamination est peu documentée. En effet, nous avons une image trop floue de l’exposition des communautés aux résidus pesticides présents dans l’eau potable. Même d’infimes concentrations peuvent avoir des impacts importants ! C’est le cas notamment des néonicotinoïdes, dont la concentration dépasse souvent les seuils de toxicité chronique pour la vie aquatique (et ces derniers sont trop rarement testés).

Vigilance OGM exige donc que les équipements de mesure utilisés aient les seuils de détection les plus bas possibles. Cela permet de quantifier les pesticides présents mêmes à très faibles concentrations et ainsi voir notre réelle exposition à ces produits pour agir en conséquence. 

Vous pouvez approfondir vos connaissances concernant la contamination de l’eau par les pesticides sur ce lien.👈

Les politiques et pratiques municipales se changent plus facilement que vous ne pouvez le croire et elles ont des impacts importants dans votre communauté. Nous avons besoin de VOUS pour réussir à les changer !

PS : Toutes ces informations ne sont pas une raison de se ruer sur l'eau en bouteille. En effet, l'eau de robinet est tout de même mieux analysée que l’eau en bouteille. Passer à l’eau embouteillée ne résoudrait pas forcément votre exposition aux pesticides (mais augmenterait votre impact sur l’environnement).

Prêt.e ? Voici les 4 étapes à suivre pour rendre pour améliorer l'analyse de votre eau potable. 
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